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Hubert-Félix Thiéfaine et Bauhaus font partie de mon univers...
Musique, poèmes, citations et réflexions personnelles, politique, sport, passions et société composent ce blog.
La bienvenue à vous !
Dans les années 1960, la perche du Nil a été introduite dans le lac Victoria en Tanzanie. Ce poisson carnivore a provoqué, depuis, une grave déstabilisation de l'écosystème et de la vie sociale de la région...
Le survivalisme est un terme qui désigne les méthodes utilisées par certains groupes ou individus
qui veulent se préparer à une hypothétique catastrophe locale, nationale ou internationale dans le futur.
Les survivalistes se préparent en apprenant des techniques de survie, des rudiments de notions médicales,
en stockant de la nourriture, en construisant des abris, ou en apprenant à se nourrir en milieu hostile et sauvage.
Ils prônent l'autosuffisance pour faire face à des catastrophes naturelles (cataclysmes, séisme, réchauffement climatique...), à des conflits humains (guerres nucléaires, guerres bactériologiques...), à des catastrophes économiques (crash boursier, pénuries de matières premières...).
Ils ne cherchent pas à sauver la planète, juste leur vie...
Les décroissants: moins consommer pour mieux vivre ?
Les sociologues les appellent " les décroissants ", en France, ils sont de plus en plus nombreux à refuser de consommer toujours plus.
Ils refusent la spirale de la société de consommation. Quand le reste de la population ne songe qu'à augmenter son pouvoir d'achat,
les décroissants préfèrent travailler moins, gagner et dépenser moins. Il ne s'agit pas de jeter tout ce qu'ils possèdent mais
de diminuer progressivement leur consommation en adoptant une vie économe, basée sur le système D.
Tout un programme qui séduit de plus en plus les français. Impossible de connaître le nombre de " décroissants " en France,
mais c'est une tendance réelle, une stratégie d'adaptation à la crise de moins en moins marginale.
Les décroissants ne sont pas des radins, mais des " écolos " qui privilégient le système D. Concrètement, ils économisent l'énergie, l'eau, l'électricité et l'essence, limitent leurs déchets. Ils se déplacent le moins possible en voiture ou en avion, boycottent les grandes surfaces, mangent des aliments " bios " produits localement pour limiter le transport et les emballages.
(un reportage de Sophie Romillat et David Geoffrion pour Envoyé Spécial)
On disait aux siècles derniers " primitifs ", " sauvages ", " indigènes " ; aujourd'hui, s'impose la dénomination
de " peuples premiers " ou " peuples traditionnels " ou encore " peuples autochtones "...
Ce sont environ 6000 peuples, disséminés sur toute la planète, qui constituent une population de 350 millions d'individus
(environ 5% de la population mondiale) et qui présentent des identités très diverses.
Qu'ils soient chasseurs, cueuilleurs, pêcheurs ou agriculteurs, ils sont les dépositaires des cultures les plus ancestrales
et constituent en quelque sorte la mémoire vivante de l'humanité.
Les peuples premiers ont souvent été victimes de leur rencontre avec la civilisation occidentale, colonnisatrice, incapable de les comprendre, avide de leur imposer ses us et coutumes et de s'emparer de leurs terres et de leurs richesses...
De nombreux peuples ont déjà disparu et d'autres sont aujourd'hui en voie de disparition ou d'acculturation, confrontés à des problèmes sanitaires, à la pauvreté, aux guerres, à des massacres et à la destruction de leur environnement et de leur patrimoine culturel...